Mais, comme dans quelques autres toiles de Cupsa, la possibilité de l’ouverture,
de l’évasion est à nouveau présente. Dans tableau-sablier
I, le sable fait apparaître en s’écoulant un corps féminin
qui semble glisser vers le haut, dans un mouvement inverse à celui des corps
dans d’autres toiles, comme par exemple Pitons aux roses.
Il nous est ainsi suggéré que, dans le temps qui passe, il se trouve
caché une autre dimension, celle que Maurice Nicoll appelait quelque part
le temps vivant.
André Bogdan ...OPUS International N. 66/67 1978